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Histoire de l'airsoft.

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Histoire de l'airsoft. Empty Histoire de l'airsoft.

Message  Gabriel Sam 2 Oct - 23:39

Tout à commencer pas l’interdiction des armes à feu au JAPON en 1947:

Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, le Japon avec sa nouvelle constitution réglemente la possession des armes à feu pour la population civile suite à l'armistice imposé par les Américains. La réglementation est tellement stricte qu'il est pour ainsi dire impossible d'avoir une arme à feu chez soi et encore moins une arme de guerre dans un but de collection, y compris les armes neutralisées, qui sont au demeurant les plus chères au monde, la neutralisation coûtant souvent 5 fois le prix de l'arme en elle-même.
Or, il y a une forte demande de la part des collectionneurs de posséder des armes fussent-elles en plastique par manque de moyen ou par manque d'armes neutralisées.
À la fin des années 1960 apparaissent grâce à la firme Maruzen (qui fut pionnière en la matière), des répliques d'armes coulées en plastique totalement inertes, spécialement pour la collection. Parfois ces répliques étaient faites en résine et métal avec des parties fonctionnelles comme les vraies. Mais pour respecter la législation, ces répliques d'armes étaient conçues et modifiées afin qu'il soit impossible de tirer à balles réelles.

En 1973 Les premières répliques fonctionnelles furent créées.
En respectant les lois japonaises, imposant l'impossibilité de transformation d'un objet en arme a feu, des techniciens et ingénieurs débutent la transformation, voire la fabrication, de ces répliques d'armes inertes en répliques d'armes pouvant tirer des projectiles, non dangereux, le tout utilisant de l'air comprimé. Les billes de 6 millimètres sont choisies pour ces répliques.
À cause de la loi japonaise ces "lanceurs" ne peuvent pas développer plus de 2 joules en sortie de canon.
Au vu de l'engouement de certains pour beaucoup de ces lanceurs "répliques d'armes", qui ont les mêmes fonctionnalités que les vrais armes, des jeux opposants 2 équipes voient le jour sous le nom de "Survival Game ou Wargame".
Les répliques prennent alors le nom d'airsoft guns.
Des ingénieurs forts connus encore aujourd'hui sont issus de cette époque, tel Tanio Kobayashi.


En 1980 les constructeurs prirent conscience des problèmes des répliques à gaz
Le problème avec les lanceurs d'époque était l'encombrement des bouteilles à air comprimé utilisées afin de faire tirer les répliques. Parfois des bonbonnes internes sont réalisées dans les répliques voire les chargeurs, améliorant le réalisme. Mais l'utilisation de l'air à haute pression demande beaucoup de sérieux et réserve alors ces répliques à un petit groupe de passionnés, toutes les répliques airsoft fonctionnent au gaz basse pression (10 bars) ou à l'air comprimé.
Les bonbonnes (en 2008) ne mesurent pas plus de 5 cm contiennent du CO2 et se logent dans la poignée des répliques et tirent 250 coups sans le recul de la culasse et 80 coups avec le recul de la culasse pour plus de réalisme. Tout cela dépend néanmoins du poids de la culasse (plus celle-ci est lourde, plus il va falloir d'énergie et donc de gaz pour la faire partir car c'est le premier cycle) et faisant ainsi varier le nombre de coups possibles avec une seule charge de gaz.
La plupart des répliques à gaz utilisent cependant un dérivé du butane contenant un additif (lubrifiant souvent). Ce gaz est contenu dans des bombonnes allant de 450 ml à 1 l, que l'on utilise pour remplir les réservoirs contenus dans les chargeurs des répliques (la bouteille n'est plus solidaire du lanceur, désormais). L'inconvénient est l'autonomie réduite et la puissance plus faible que le CO2, sans compter le fait qu'il faut transporter la bouteille sur soi pour recharger son lanceur durant la partie. Pour le CO2, il faut également transporter les cartouches (métalliques) qui font un bruit très reconnaissables en s'entrechoquant. Il est en outre plus long et compliqué de recharger un lanceur à CO2 qu'un lanceur à gaz butane.

En 1985 Tokyo Marui, société japonaise alors spécialisée dans le modélisme bas de gamme, se lance dans le secteur de l'airsoft en produisant des répliques d'armes utilisant la technologie des voitures électriques télécommandées. L'air comprimé est alors fourni par un piston poussé par un ressort, lui même armé par un système d'engrenages entraînés par un moteur électrique au sein d'une "gearbox". L'énergie nécessaire à la propulsion des billes est alors tirée d'une batterie d'accumulateurs. La facilité d'utilisation et d'entretien de ce type de réplique est telle que c'est le principal déclencheur du succès de l'activité.

Tokyo Marui a commencé - pour la société française CYBERGUN sous licence GIAT Industries - avec la fabrication du FAMAS français et connaît un franc succès. Suivent alors rapidement la gamme des M16A1 et M16 VN (Vietnâm), puis le CAR-15 et le XM 177E2 ainsi que le MP5 pour étendre ensuite sa gamme de produits à plusieurs dizaines de répliques.
En 1986 Les répliques gaz plus sur :
Marui sort sa mitraillette Walther (reliée à une bouteille d'air comprimé) qui permet le tir en rafale. Grande première : des douilles sont fournies avec l'arme ! Une bille dans chaque douille, le tout dans le chargeur : à chaque tir la bille part et la douille est éjectée.
Toutes les répliques airsoft fonctionnent au gaz basse pression (10 bars) ou à l'air comprimé.

En 1989 L'arrivée des répliques électriques
Marui créé les premières répliques électriques. Pas moins de trois répliques sortent cette année là. La première arrivée chez nous, fut le Famas, puis le MP5 a5 et en dernier le XM-177. Sans le système " Hop-Up ".

En 1993, Tokyo Marui invente et fait breveter le Hop-up. Ce système permet d'augmenter la portée des billes sans augmenter la puissance de sortie des ces dernières. Le système s'appuie sur l’effet Magnus, découvert par le physicien allemand Heinrich Gustav Magnus (1802-1870), qui permet notamment d’expliquer les effets de balle dans le sport. Le système permet, grâce à une pièce de caoutchouc de frotter la bille au moment de sa propulsion, et ainsi la faire tourner sur elle-même et tel un slice au tennis de la faire "voler".

En 1994 Amélioration des répliques gaz
Les bonbonnes ne mesurent pas plus de 5 cm et se logent dans la poignée des pistolets et tirent 250 coups sans le recul de la culasse et 80 coups avec le recul de la culasse pour plus de réalisme.

En 2000 Des répliques à revendre
Les fabricants ne s'arrête plus de fabriquer de nouvelle répliques pas moins de 100 modèles électrique existent et plus de 250 modèle a gaz ou manuelle existent.

En 2002 Les pièces arrivent en masse
Depuis plusieurs années les pièces d'origine et quelques pièces renforcer de répliques ce vendent en France, mais cette année la c'est la grande envolée du " Boostage " " Upgrade " des pièces spéciales comme des ressorts, pistons, engrenages, canon,…, ce trouvent de plus en plus dans les magasins d'air soft.

En 2004 De nouvelle marque arrivent
Voyant l'essor du soft air dans le monde de nouveaux fabricants s'essaient au répliques qui ne sont pas toujours de bonne qualité. Et bien souvent au dessus des normes françaises de sécurité (fps trop élever).

2008 Ou s'arrêteras t'on
Systema enclenche la vitesse supérieure en créant des répliques dont le poids, le maniement et le tir sont (presque) réels, il s'agit des PTWS dit Profesionnal Training Weapons.


Les différents types de réplique :

Gaz
Les répliques à gaz se divisent en plusieurs catégories :

• GBB (Gas Blow-Back) : Leur principe de fonctionnement repose sur le principe du semi-automatique, chaque pression sur la détente provoque la percussion d'une valve qui va libérer une partie du gaz. Celui-ci va propulser la bille et actionner un bloc pompe qui va avoir pour effet de ramener la culasse en arrière puis en avant au moyen d'un ressort de rappel. Ceci permet l'introduction d'une nouvelle bille dans la chambre de tir. Étant donné leur principe actif (le gaz, souvent un réfrigérant ou un dérivé du propane à l'état liquide), ses performances (puissance notamment) sont fortement influencées par la température ambiante. En effet, en dessous de 0 °C ou par faible température, presque aucun GBB ne fonctionne correctement, le gaz n'ayant pas la possibilité de se dilater correctement. Ces répliques peuvent soit tirer en coup par coup (semi-automatique) ou en rafales (automatique) suivant leur type et leur mécanique interne. Les mécanismes GBB ont l'intérêt du réalisme en simulant le recul de la culasse de la réplique. Mais contrairement aux armes réelles, le canon a plutôt tendance à plonger lors du tir (alors qu'il se cabre sur une arme réelle). Cela s'explique par le fait que la quantité de mouvement du projectile est minime. L'effet mécanique du gaz consiste essentiellement à projeter la culasse vers l'arrière, l'effet de recul s'appliquant alors au reste de la réplique et provoquant son pivotement vers l'avant.

• NBB (Non Blow-Back), parfois GNB (Gas Non-Blowback) : Réplique dont la culasse n'effectue pas un mouvement d'aller retour lors du tir. Le système est simplifié a l'extrême : ici le gaz ne sert qu'à propulser les billes. La culasse n'étant plus mobile, il en résulte une économie en gaz non négligeable qui permet de tirer beaucoup plus de billes. Le chargement des billes s'effectue par un système mécanique actionné par la détente de la réplique, ce qui explique la relative dureté de la course de détente. Ces répliques ne tirent qu'en semi-automatique, puisque les modes de tir automatique requièrent un mouvement de chargement.

• CO2 : Les répliques utilisant du dioxyde de carbone ou bien de l'air comprimé, notamment certaines répliques automatiques, l'air étant contenu dans des bouteilles similaires à celles employées au paintball, des sparklets. Les répliques à CO2 peuvent avoir une culasse mobile (type GBB). À noter que certaines de ces répliques étaient très puissantes (environ 400 fps) et sont souvent interdites en partie.

• Lance-grenades : Certains AEG peuvent être équipés de lance-grenades, notamment les M16 et dérivés, les G36, les AK47 et dérivés et les tous nouveaux SCAR. Ces accessoires se fixent de 2 manières différentes suivant les modèles :
o Soit directement sous le canon à la place du garde main (démontage partiel souvent nécessaire)
o Soit sur un rail au standard 20 mm attaché au garde main (rapidement détachable)
Les grenades fonctionnent selon le principe de la chevrotine et sont alimentées par du gaz. Les billes sont placées dans des tubes situés à l'avant de la grenade (de 18 à 200 billes dans 12 tubes en général), et la grenade est insérée dans le lance grenade. La visée est relative car les billes retombent vite, le système n'étant pas équipé de hop-up. Certaines grenades tirent des grosses balles en caoutchouc ressemblant à des flashballs, mais cette variante est extrêmement rare.
Manuel
• Les répliques manuelles (dites spring, littéralement "à ressort") : le réarmement est manuel (après chaque tir). Ce principe est utilisé principalement sur les répliques de fusils à pompes et pistolets.

• Les bolts ou répliques de précision : limités en billes mais ayant une plus grande portée/précision, ils fonctionnent sur le principe des spring mais avec des améliorations notamment au niveau de la qualité du canon de précision. Ils sont relativement peu bruyants, mais leur cadence de tir est limitée et la force employée pour réarmer le ressort à chaque tir augmente proportionnellement à la force du ressort utilisé. Les répliques telles de fusil de précision peuvent avoir une puissance allant jusqu'à 2 joules avec un système à ressort.

Électrique
Le lanceur automatique AEG (Automatic Electric Gun) ou AEP (Air Electric Pistol) pour les répliques d'arme de poing. Ces répliques éjectent les billes en rafales grâce à un système électrique relativement simple contenu dans un composant appelé gearbox: un moteur électrique entraîne des engrenages, entraînant eux-mêmes un piston qui va comprimer un ressort. À la fin du cycle, les engrenages relâchent le piston qui va, par la détente rapide du ressort, comprimer un volume d'air plus ou moins grand suivant le cylindre installé.
Ces répliques permettent une utilisation soutenue et une autonomie assez élevée en fonction de la puissance et la capacité de la batterie utilisée. Leur puissance est modifiable par simple changement du ressort, mais le renforcement de nombreuses pièces peut s'avérer nécessaire afin de conserver la fiabilité de la réplique et éviter les casses. Leur principe de fonctionnement s'apparente donc aux répliques mais avec l'aide d'un système électrique.

Billes :
Les billes d'airsoft ou bbs ont un diamètre de 6 mm (ou 8 mm sur certains modèles produits par Marushin). Généralement, les billes sont biodégradables fabriquées à base d'amidon de maïs ou encore d'un mélange de résine et de fragments d'orge. En 2009 a eu lieu une polémique dans le milieu de l'airsoft sur l'utilisation de ces billes "bio", qui ne s'avèrent, dans la plupart des cas, pas plus écologiques que les billes en plastique. La durée de décomposition est globalement la même, seul le type de résidus varie selon la composition des billes.
Il existe différentes qualités de billes et différents grammages allant de 0,12 g à 0,45 g et même plus. Pour un aeg classique, on utilise principalement des grammages entre 0,20 g et 0,25 g, les billes lourdes sont plutôt réservées aux tirs de précision. La vitesse de sortie baisse proportionnellement à l'augmentation du poids de la bille, mais sa stabilité dans l'air s'en trouve accrue. Elle permet ainsi d'avoir une trajectoire plus stable et une résistance au vent plus élevée (ce qui représente un intérêt non négligeable lorsque l'on tire avec un lanceur "manuel", encore appelé "spring", d'une cadence de tir très faible).

Contrôles de puissance :
• Chronographe ou "Chrony" : il sert à calculer la vitesse des billes, et par ce biais, à déduire (selon la masse de la bille) la puissance développée par les lanceurs. La vitesse maximale généralement autorisée d'une bille de 0,20 g est de 350 fps pour les lanceurs automatiques, 400 fps pour les semi-automatiques et 450 fps (125 m/s) pour les répliques de sniper.
• Le décret 99-240 exprime la puissance des répliques de manière légale, c'est-à-dire en joules qui est la mesure légale de l'énergie développée.

Les terrains :
L'airsoft se pratique habituellement sur des terrains naturels ou urbains. Les forêts et les constructions abandonnées sont les terrains de jeu privilégiés. Par soucis d'éviter d'inquiéter ou de gêner la population lors de la pratique de ce loisir (car il peut être mal perçu au premier abord à cause des tenues et de l'aspect même des répliques) il est de rigueur de choisir des terrains assez éloignés des habitations.
Il est obligatoire d'avoir l'autorisation de jouer sur le terrain : un accord écrit avec le(s) propriétaire(s) identifié(s). Dans le cas contraire, les contrevenants risquent des poursuites pénales pour violation de propriété privée, effraction etc…
Si le terrain est accessible par des personnes non joueuses, la sécurisation par signalisation de la zone d'évolution des joueurs est indispensable. Prévenir la gendarmerie ou le commissariat de Police compétents sur le secteur est fortement conseillé.

Règle du jeu :
Le jeu est très tactique et est un excellent sport d'équipe très riche en interactions. Il présente par ailleurs l'avantage d'être très complet en demandant un large panel de compétences.
Le but est de réaliser les objectifs d'un scénario fixé en début de partie : prise d'otage, escorte, prise de drapeau ou de bâtiment, élimination individuelle ou par équipe, déminage. Pour réaliser leurs objectifs, les joueurs ont la possibilité d'éliminer temporairement les membres de l'équipe adverse. Le joueur qui se fait toucher par une bille doit crier « OUT » (hors-jeu) et retourner dans un poste de vie (point de respawn) ou rester hors-jeu pendant une durée déterminée.
Les joueurs peuvent également tenir un rôle : les plus courants sont celui du médecin (possibilité de "soigner" les joueurs éliminés), les ingénieurs, ou encore les snipers.
Étant donné l'absence de fédération sportive en France, chaque équipe locale de joueur adopte son propre règlement. On peut cependant noter des constantes: la limitation de la puissance des répliques et l'utilisation du "OUT" par exemple. D'autre part, le nombre pour ainsi dire infini de variantes possibles pour les scénarios permet une grande variété de styles de jeu. On peut ainsi trouver des équipes axées sur la tactique et le côté réaliste (scénario inspirés de conflits armés réels) autant que des parties plus axées sur le jeu de rôle (scénarios tournant autour de conflits fictifs, parfois futuristes, ou attribuant des rôles spécifiques à certains joueurs).
Les parties d'airsoft peuvent s'inspirer de périodes de l'Histoire, de la Seconde Guerre Mondiale jusqu'aux conflits actuels tel que la guerre en Irak en passant par la Guerre froide. L'airsoft se rapproche ainsi de la reconstitution historique par l'utilisation de répliques et vêtements conformes à l'époque représentée.
Accessoires et customs :

Le custom (personnalisation de réplique) est de plus en plus à la mode depuis quelques années. Il consiste à effectuer des modifications plus ou moins importantes à sa réplique, allant de l'ajout d'une peinture pour camouflage ou d'une modification de la puissance à un remaniement complet de l'aspect esthétique et technique, débouchant le plus souvent sur des répliques à caractère unique. Des joueurs coréens ont ainsi créé de toute pièce un AEG très puissant à double canon doté d'une gestion électronique à affichage digital de la partie puissance. Les répliques les plus sujettes au custom sont les M16 et dérivés, du fait de leur popularité et du nombre extrêmement grand d'accessoires et pièces disponibles sur Internet et en magasin.
Un des customs les plus courants consiste à rajouter des accessoires ne nécessitant aucune démontage (ajout d'un appareil de visée électronique (red dot), ou d'un silencieux. Ensuite, vient l'ajout d'un RIS (Rail Integrating System), remplaçant généralement le garde main du lanceur. On peut alors y placer une lampe, un pointeur laser, une poignée, un lance-grenade ou tout autre accessoire plus ou moins utile.
Gabriel
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Message  Romain d'Eastwood Dim 3 Oct - 12:01

Très instructif, merci Gabi !
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Message  lucas Dim 3 Oct - 13:13

pas mal très complet
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Message  david Dim 17 Oct - 22:25

pas mal =)
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